Bonjour à tous,
Nous publions une newsletter afin de vous aider à naviguer sereinement au sein de la cryptosphère.
Cette newsletter couvre la semaine du 11 - 15 avril.
Voici l’édition #7
📰 Les actualités majeures de la semaine 📰
🦧 Les Bored Apes au cinéma : Une trilogie de films sera produite par Coinbase 🎥
Le projet Bored Ape Yacht Club (BAYC) n’en finit plus d’étendre son influence. Après s’être essayée à d’autres domaines que les tokens non fongibles (NFT), la marque fera l’objet d’une trilogie de courts-métrages. Et ceux-ci seront produits par la plateforme d’échange Coinbase.
Les détenteurs d’un BAYC pourront soumettre leur NFT accompagné d’une courte description avec une biographie inventée, afin qu’il apparaisse dans le film.
Un directeur de casting d’Hollywood consultera ensuite les candidatures pour voir quels personnages seront intégrés. Il s’agira d’une trilogie baptisée « The Degen Trilogy ».
Le premier court-métrage devrait être diffusé à l’occasion de l’événement NFT.NYC, qui aura lieu du 20 au 23 juin à New York. Cette nouvelle initiative du Bored Ape Yacht Club fait suite à une multitude d’annonces faites au cours des dernières semaines. Ce qui n’était autrefois qu’un projet de NFT de type “profile pics” s’accompagne désormais d’une cryptomonnaie, l’ApeCoin (APE).
Et le BAYC s’est aussi attaqué au secteur du metaverse récemment.Par ailleurs, l’entreprise responsable avait aussi réussi à attirer dans ses filets d’autres grandes marques des NFT. Yuga Labs s’est en effet offert les Cryptopunks et les Meebitssur un plateau, en mars dernier. La société construit donc tranquillement un début d’hégémonie, avec des projets particulièrement ambitieux.
🇵🇹 Le régulateur portugais accorde la première licence de crypto-monnaie à une banque 🏦
Bison Bank proposera ses services d’actifs numériques aux particuliers fortunés, devenant ainsi la première institution bancaire du pays autorisée à le faire.
La banque portugaise Bison Bank a reçu l’autorisation de la Banque centrale du Portugal (Banco de Portugal) d’opérer en tant que “fournisseur de services d’actifs virtuels” (VASP), devenant ainsi la première banque du pays à recevoir le feu vert du régulateur.
Jeudi, Banco de Portugal a mis à jour sa liste de fournisseurs de services d’actifs virtuels en ajoutant “Bison Digital Assets” comme cinquième bourse de crypto-monnaies autorisée dans le pays. La société est nouvellement créée pour opérer sous l’égide de Bison Bank, qui est entièrement détenue par une société de capital privé chinoise basée à Hong-Kong, et positionnera ses services de crypto-monnaies auprès de clients fortunés, selon les médias locaux.En avril 2021, des lois ont été établies pour réglementer les échanges de crypto-monnaies dans le cadre d’un régime de licence géré par la banque centrale. La, plus tard cette année-là, en juin, des licences ont été accordées aux bourses Mind The Coin et Criptoloja, les deux premiers SVA autorisés à opérer dans le pays.
En mars 2021, le régulateur a accordé la première licence SVA “toutes catégories” à Utrust, permettant à la bourse de proposer des échanges de crypto à crypto, des transferts vers des adresses de portefeuilles, ainsi que la garde et le stockage de clés privées, en plus d’offrir une rampe d’accès au fiat. Bison Bank a également obtenu une licence toutes catégories.
Le Portugal a longtemps été considéré comme un pays favorable aux crypto-monnaies et un paradis fiscal pour les crypto-monnaies. Il n’y a pas de gains en capital ou d’impôts sur le revenu des particuliers sur les crypto-monnaies, sauf s’il s’agit du seul revenu d’un individu, car le Portugal considère les crypto-monnaies comme une forme de paiement ou de monnaie, et non comme un actif.
En avril 2020, le pays a établi des plans pour créer des zones franches technologiques (ZLT), des zones dans lesquelles les entreprises peuvent tester des produits et des services, le pays soulignant qu’il envisageait de tester la technologie blockchain dans le cadre de son plan de transformation numérique.
🐦 Elon Musk propose de racheter Twitter pour 43 milliards de dollars afin de le “transformer en société privée” 💸
Elon Musk a proposé d’acheter Twitter pour 54,20 dollars par action dans un document publié jeudi, affirmant que la société de médias sociaux doit être transformée en société privée, un peu plus d’une semaine après avoir révélé une participation de 9,1% dans la société. L’offre de Musk valorise Twitter à environ 43 milliards de dollars.
“J’ai investi dans Twitter car je crois en son potentiel pour être la plate-forme de la liberté d’expression dans le monde entier, et je crois que la liberté d’expression est un impératif sociétal pour une démocratie qui fonctionne”
a écrit Musk dans une lettre envoyée au président de Twitter Bret Taylor et divulguée dans un dépôt de titres.L’action Twitter a clôturé en baisse de 1,68% jeudi. L’action de Tesla a chuté de plus de 3,6 % à la suite de la nouvelle.Selon M. Musk, la société de médias sociaux doit devenir privée parce qu’elle ne peut “ni prospérer ni servir” la liberté d’expression dans son état actuel.
“En conséquence, je propose d’acheter 100% de Twitter pour 54,20 dollars par action en espèces, soit une prime de 54 % par rapport à la veille du jour où j’ai commencé à investir dans Twitter et une prime de 38 % par rapport à la veille du jour où mon investissement a été annoncé publiquement”, a-t-il écrit.
“Mon offre est ma meilleure et dernière offre et si elle n’est pas acceptée, je devrais reconsidérer ma position en tant qu’actionnaire.”
Musk a fait appel à Morgan Stanley comme conseiller financier, selon le dépôt.Il a affirmé plus tard jeudi, lors d’une conférence à TED2022, qu’il n’était pas intéressé par l’acquisition de Twitter pour en tirer de l’argent et a même déclaré qu’il n’était pas sûr de pouvoir acheter la société.
“Ce n’est pas une façon de faire de l’argent... c’est juste que je pense que mon sens fort et intuitif est que d’avoir une plate-forme publique qui est maximalement fiable et largement inclusive, est extrêmement important pour l’avenir de la civilisation”, a déclaré Musk à TED2022.
“Mais oui, je ne me soucie pas du tout de l’économie”. Il a également déclaré lors de la conférence qu’il essaierait de conserver autant d’actionnaires que possible pour une entreprise privée.La nouvelle survient quelques jours après que le PDG de Twitter, Parag Agrawal, a averti les investisseurs des “distractions à venir”.
“Le conseil d’administration de Twitter examinera attentivement la proposition pour déterminer la ligne de conduite qu’il estime être dans le meilleur intérêt de la société et de tous les actionnaires de Twitter”, a déclaré la société dans un communiqué jeudi en réponse à l’offre.
David Faber, de CNBC, a rapporté dans l’émission “Squawk on the Street” que le conseil d’administration de Twitter se réunira à 10 heures pour évaluer l’offre, selon des personnes familières. Musk a révélé pour la première fois sa participation dans le géant des médias sociaux le 4 avril. Il a ensuite obtenu un siège au conseil d’administration de la société avant de revenir sur ses plans.
Le PDG de Tesla a déjà critiqué publiquement le géant des médias sociaux. Le mois dernier, il a interrogé les internautes sur Twitter pour savoir si l’entreprise respectait les principes de la liberté d’expression. Il a également déclaré qu’il envisageait de créer une nouvelle plateforme de médias sociaux. Les actions de Twitter ont fluctué ces dernières semaines en raison des nouvelles de Musk, mais elles sont en hausse de 6% cette année et de 18,5% depuis le début du mois.
⚠️ Listing Coinbase : Une adresse Ethereum (ETH) est suspectée de délit d’initié ⚠️
Une adresse Ethereum (ETH) est suspectée de délit d’initié. Et pour cause, son propriétaire a acheté des cryptomonnaies, qui ont été présentées 24 heures plus tard par Coinbase pour un éventuel listing sur la plateforme. Alors que Coinbase a publié sur son blog ce lundi 11 avril, une liste de 50 altcoins, qui sont à l’étude pour un éventuel listing sur la plateforme, une adresse Ethereum pourrait être impliquée dans un délit d’initié.
Si tout cela pourrait très bien n’être qu’un heureux hasard pour un investisseur lambda, les probabilités ne pointent pas vraiment dans ce sens. Une adresse a effectivement été créée sur le réseau Ethereum et a acheté 6 des 50 tokens cités par Coinbase, 24 heures avant la publication officielle, laissant ainsi penser à un délit d’initié. Les actifs en question sont :
Indexed (NDX) ;
Kromatika (KROM ) ;
DappRadar (RADAR) ;
RAC (RAC) ;
DFX Token (DFX) ;
Paper (PAPER).
Le tout s’élève environ à 400 000 dollars au moment de l’écriture de ces lignes. Bien que rien ne puisse le prouver actuellement, cet enchainement de faits porte à croire que la personne derrière cette adresse était au courant d’une manière ou d’une autre de l’annonce imminente de Coinbase.
🇫🇷 Plus de 50% des Français de 18-25 ans sont intéressés par les cryptomonnaies et les tokens non fongibles (NFT) 🖼
Les Français âgés de 18 à 25 ans sont très intéressés par le monde des cryptomonnaies et des tokens non fongibles (NFT). D’après une étude, 32% des jeunes adultes de France ont déjà acheté des crypto-actifs, notamment afin de diversifier leur épargne. Le metaverse semble également les intéresser.
L’agence parisienne Heaven vient de publier une étude consacrée à la perception des cryptomonnaies, des tokens non fongibles (NFT) et du metaverse chez les Français âgés de 18 à 25 ans. Dans le cadre de ce sondage, l’agence publicitaire spécialisée dans le numérique a interrogé un panel de 538 jeunes résidant en France. Premier constat, les jeunes Français disposent de solides connaissances sur l’univers des actifs numériques. Ainsi, 67% des sondés affirment savoir ce que sont les cryptomonnaies. 45% des 18-25 ans sont également familiers avec le terme NFT. Enfin, 34% des personnes interrogées assurent savoir ce qu’est le metaverse.
Les termes moins grand public de l’écosystème sont par contre moins connus. C’est le cas de la blockchain (22%), du Web3 (10%) et des DAO (9%). Sans surprise, ce sont surtout les individus de sexe masculin qui s’intéressent au monde des cryptomonnaies et de la blockchain. 87% des sondés qui connaissent l’intégralité des termes liés au Web3 sont des hommes.
D’après l’étude, 32% des jeunes de 18-25 ans détiennent déjà des cryptomonnaies. Selon une étude Adan / KPMG France, ce taux descend à 8% si l’on prend en compte l’entièreté de la population française. Heaven souligne que 34% des sondés se disent intéressés par un investissement. Finalement, « seulement 1 tiers des répondants semble réfractaire aux cryptos ».
L’investissement dans les crypto-actifs est motivé par l’envie de se constituer une épargne (52%), de tirer profit de l’augmentation des cours (44%), de diversifier son épargne (37%), de s’émanciper des banques (22%) ou d’obtenir une meilleure confidentialité financière (21%). Enfin, 13% des jeunes qui vivent en France ont acheté des cryptomonnaies pour envoyer des fonds à l’étranger.
Les tokens non fongibles sont moins répandus dans les portefeuilles des jeunes français. Seulement 4% des sondés détiennent des oeuvres numériques certifiées sur la blockchain. Par contre, 49% des répondants disent envisager de sauter le pas. Néanmoins, 45% des jeunes adultes ne sont pas intéressés par le secteur des NFT.
La plupart des sondés associent les tokens non fongibles à des oeuvres artistiques digitales (51%) ou à des objets/ personnages de jeux vidéo (50%). Notez d’ailleurs que de nombreux jeunes français affirment se divertir avec des jeux comme Fortnite (52%) ou Roblox (24%).
On ne remarque pas le même engouement pour le Web3 chez les adolescents. D’après une étude de Piper Sandler, célèbre banque d’investissement américaine, seuls 9% des adolescents américains âgés de 16 ans affirment vouloir s’équiper d’un casque de réalité virtuelle pour accéder au metaverse.
La banque a interrogé 7100 adolescents dans le cadre de cette étude. Cependant, on apprend que 26% des adolescents détiennent déjà un casque de réalité virtuelle mais il semble que l’accessoire ne soit pas régulièrement utilisé. Seulement 5% des sondés s’en servent tous les jours. La plupart des adolescents interrogés portent rarement leur casque (48%), bien que 68% d’entre eux se considèrent comme des gamers.
🎮 Le studio Epic Games lève 2 milliards de dollars pour bâtir un metaverse 📺
Epic Games, le célèbre studio de jeux vidéo à qui l’on doit notamment le jeu Fortnite, vient de lever 2 milliards de dollars afin d’accélérer le développement des metaverses.
Cette annonce intervient tout juste quelques jours après un communiqué de l’entreprise annonçant notamment un metaverse pour enfants en collaboration avec le groupe Lego. Epic Games, le célèbre studio de jeux vidéo américain à qui l’on doit des franchises de renom comme Unreal Tournament, Gears of War ou encore le jeu Fortnite, vient de clôturer un tour de table à pas moins de 2 milliards de dollars.
Notons que Sony n’en est pas à son coup d’essai en termes d’investissement chez Epic Games. Effectivement, en 2020, la firme avait déjà investi 250 millions de dollars dans le studio, se dotant dans le même temps de 1,4% de parts de l’entreprise. En avril 2021, Sony remettait le couvert et investissait de nouveau 200 millions de dollars dans le cadre d’une levée de fonds à 1 milliard de dollars.
La participation de Sony dans le studio d’Epic Games marque un tournant important pour cette dernière, puisque par le passé, Epic Games avait sorti quelques-uns de ses jeux vidéo en exclusivité sur Xbox, la console de jeux vidéo concurrente de la PlayStation de Sony. D’ailleurs, en 2020, Epic Games avait choisi de dévoiler publiquement les performances de son moteur de jeux vidéo Unreal Engine 5 sur la console PlayStation 5.
Selon Tim Sweeney, fondateur et actuel PDG d’Epic Games :
« Cet investissement va accélérer notre travail pour construire le metaverse et créer des espaces où les joueurs peuvent s’amuser avec leurs amis, où les marques peuvent construire des expériences créatives et immersives, et où les créateurs peuvent bâtir une communauté et prospérer »
Après une approbation des organismes régulateurs concernant ce nouvel apport de capital, la valorisation d’Epic Games atteindra la somme mirobolante de 31,5 milliards de dollars. Cette nouvelle annonce intervient tout juste quelques jours après un communiqué d’Epic Games annonçant un partenariat avec Lego Group afin de
« façonner l’avenir du metaverse pour le rendre sûr et amusant pour les enfants et les familles ».
Pour Epic Games, l’évolution du metaverse actuelle est telle qu’il faut repenser la façon dont les gens se rencontrent, jouent et interagissent dans les mondes virtuels, notamment pour les enfants.Peu de détails concernant la façon dont sera structuré ce metaverse, mais l’on sait déjà qu’il sera pensé de façon à être le plus adapté et le plus sûr possible pour les enfants et plus globalement pour les familles, une idée appuyée par le communiqué :
« Lego Group et Epic Games vont combiner leurs expériences respectives pour s’assurer que cette prochaine itération d’Internet soit conçue dès le départ avec le bien-être des enfants en tête. »
Ce nouveau projet sera concentré sur 3 axes : protéger le droit des enfants à jouer en faisant de leur sécurité et de leur bien-être une priorité, protéger leur vie privée en priorisant leur intérêt supérieur et donner aux enfants et aux adultes les outils qui leur permettent de contrôler leur expérience numérique. À l’heure de l’écriture de ces lignes, nous ne savons pas encore quand un tel metaverse verra le jour. Une chose est sûre, la sécurité des enfants sera en tout cas au premier plan.
📦 UPS veut lancer son service de livraison dans le metaverse 📦
UPS prévoit de se lancer dans le metaverse. L’entreprise de livraison de colis vient de déposer plusieurs demandes de marques relatives aux mondes numériques accessibles en réalité virtuelle et aux tokens non fongibles (NFT). D’autres sociétés du secteur de la livraison devraient imiter UPS dans les mois à venir.
UPS, l’importante société de livraison de colis américaine, ambitionne de se lancer dans le metaverse. Michael Kondoudis, avocat spécialisé, explique avoir repéré plusieurs demandes de marques liées au metaverse dans la base de données du Bureau américain des brevets et des marques de commerce. UPS a enregistré plusieurs éléments distinctifs de sa marque, comme son logo, et des termes comme « United Parcel Services » et « UPS Store ».
Les dépôts consultés par l’avocat décrivent notamment un service de livraison et d’expédition accessible depuis le metaverse. UPS souhaite visiblement permettre à ses clients de programmer l’envoi d’un colis par le biais d’une interface accessible en réalité virtuelle ou augmentée.
Les documents n’en disent pas plus sur les ambitions d’UPS sur ce point. D’après les dépôts, UPS souhaite également se lancer sur le marché des tokens non fongibles (NFT). Les documents déposés par l’entreprise évoquent en effet des boutiques d’objets virtuels sous forme de NFT, dont des œuvres de collection, des vêtements, des véhicules, des colis, des avions et des accessoires pour le sport.
Le descriptif, volontairement vague, révèle l’intérêt d’UPS pour le secteur des actifs numériques certifiés sur la blockchain.Pour Michael Kondoudis, ces dépôts démontrent l’intérêt d’UPS pour le metaverse. En miroir de nombreuses autres entreprises, le transporteur américain se prépare activement à l’essor des mondes numériques accessibles grâce à un casque de réalité virtuelle ou augmentée.
Interviewé par ExpertClick, l’avocat explique :
« UPS est une marque mondiale d’expédition et de livraison, et la valeur attachée à ses marques de commerce est importante. […] De toute évidence, UPS voit le potentiel du metaverse ». D’après lui, l’attrait affiché par UPS témoigne « d’une nouvelle tendance aux dépôts de marques de commerce liées aux NFT et au metaverse dans le secteur de l’expédition, de la logistique et de la livraison de colis ».
Concrètement, d’autres grands noms du secteur devraient emboîter le pas à UPS dans un avenir proche. Le nombre de demandes de marques devrait exploser dans les 12 mois à venir, prophétise l’avocat.Depuis que Facebook est devenu Meta, de nombreuses marques de renommée mondiale se sont tournées vers le metaverse. Récemment, Mastercard a d’ailleurs déposé plusieurs brevets dédiés aux mondes numériques et aux NFT. C’est également le cas d’American Express et de Monster Energy.
D’autres entreprises ont été encore plus loin en nouant des partenariats avec des firmes du secteur de la blockchain et du metaverse. Par exemple, AXA France et le groupe Casino se sont implantés dans l’univers virtuel de The Sandbox (SAND).
🕺 Personnalité à suivre : CZ_Binance ⭐️
Changpeng Zhao, communément appelé “CZ”, est un dirigeant d’entreprise sino-canadien. Zhao est le fondateur et le PDG de Binance, la plus grande bourse de crypto-monnaies au monde en termes de volume d’échanges en avril 2018.
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